Ensomme, le dĂ©bat autour des romans atteste plus de la coexistence et de la concurrence de deux conceptions de la vĂ©ritĂ©, ainsi que du refus d’une partie des Ă©lites intellectuelles de les voir se concilier, que d’une entreprise destinĂ©e Ă  protĂ©ger les intĂ©rĂȘts particuliers des auteurs de fictions chevaleresques, mĂȘme s’ils ont naturellement pu jouer de la confusion. À la 0010:44 La science en entreprise : Google Rework, bien-ĂȘtre en entreprise, ergonomie, management, dans un esprit d’influence en Ă©vitant la manipulation. Un scalpel sera dangereux dans les mains d’un tueur en sĂ©rie, utile dans les mains d’un chirurgien, s’il est effectivement formĂ© et s’il rĂ©pond Ă  une demande, dans un cadre dĂ©ontologique. Dans cet Lesfaits :Au dĂ©but de la pandĂ©mie de coronavirus, lors du premier verrouillage, l’Organisation mondiale de la propriĂ©tĂ© intellectuelle (OMPI) a accordĂ© un brevet Ă  Microsoft.Le brevet WO 060606 dĂ©clare que « l’activitĂ© du corps humain peut ĂȘtre utilisĂ©e dans un processus de minage d’un systĂšme de crypto-monnaie ».Les donnĂ©es recueillies peuvent concerner SYNOPSIS Chacun d'entre nous s'est dĂ©jĂ  retrouvĂ© au moins une fois, au cƓur de la tourmenteAu nom de la vĂ©ritĂ© s'attache Ă  des hĂ©ros du DavidColon est professeur Ă  Sciences Po Paris, oĂč il enseigne notamment l’histoire de la propagande et des techniques de communication persuasive. Cet historien est Ă©galement chercheur au Centre d’histoire de Sciences Po (CHSP). En 2019, il reçoit le prix Akropolis et en 2020, le prix Jacques Ellul, pour son ouvrage Propagande. Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd. Scientifiques, anciens dirigeants d’entreprise, cadres supĂ©rieurs, professions libĂ©rales, citoyens responsables, tous soucieux de prĂ©server la planĂšte et de promouvoir un langage de vĂ©ritĂ© sur le climat et l’énergie, en dehors de toute idĂ©ologie ou manipulation de l’ de l’association Climat et VĂ©ritĂ© »PrĂ©sident Guy BARBEY – HEC, Harvard AMP – ancien dirigeant d’entreprise – – PrĂ©sident Ludovic PENIN – ingĂ©nieur Centrale Paris, INSEAD – ancien cadre dirigeant et entrepreneur – retraitĂ©SecrĂ©taire Jacques-Marie MORANNE – ingĂ©nieur de l’Ecole Centrale de Lille, ancien crĂ©ateur et dirigeant d’entreprise – retraitĂ© – auteur de Serge MONIER – ESCP et INSEAD MBA, cadre dirigeant de grandes entreprises et crĂ©ateur de plusieurs PME, spĂ©cialiste de l’Europe de l’est. ReplayDocumentaireAu nom de la vĂ©ritĂ©Au nom de la vĂ©ritĂ© - Manipulations en entreprise 18/05/2022 Ă  07h18 ‱ 26min ‱ 3 vuesRĂ©sumĂ©Chacun d'entre nous s'est dĂ©jĂ  retrouvĂ© au moins une fois, au cƓur de la tourmente... "Au nom de la vĂ©ritĂ©" s'attache Ă  des hĂ©ros du quotidien en prise avec une dĂ©cision capitale. Chaque Ă©pisode est une tranche de vie dans laquelle chacun peut s'identifier ou projeter sa propre famille. Ces moments qui dĂ©rapent, ces accidents de la vie, ces histoires secrĂštes qui encombrent notre quotidien... C'est tout l'univers de votre nouvelle sĂ©rie. Replay TV par chaĂźne Replays les plus vus Replays au hasard La critique est aisĂ©e, mais l’art est difficile Nous pourrions reprendre cet aphorisme qui daterait du XVIIIe siĂšcle pour nous interroger sur la maniĂšre actuelle de faire une critique positive au travail. Dans le cadre d’un management moderne qui s’inscrit aujourd’hui dans une logique humaniste oĂč l’art de manager s’apparente de plus en plus Ă  la capacitĂ© d’animer, motiver et donner envie Ă  ses Ă©quipes bien plus que d’ordonner et imposer une directive, faire une remarque positive prend tout son sens
 Faire une critique positive, constructive ne pourrait-elle pas ĂȘtre un art en soi ? La diffĂ©rence entre une critique constructive et une critique malveillante ? La premiĂšre est celle que vous faites aux autres. La seconde est celle qu’ils vous font ». Mais si nous cherchions un peu plus loin que cette boutade Ă  la Sacha Guitry ? Aujourd’hui, le mot critique est connotĂ© pĂ©jorativement. Pourtant, critique vient du latin criticus, issu du grec ancien kritikos capable de discernement ». Avoir un esprit critique c’est donc faire preuve de jugement et de perspicacitĂ©, avoir une certaine clairvoyance des faits. Être critique c’est avoir l’exigence de ne pas s’en tenir Ă  l’apparence, c’est exercer sa facultĂ© de jugement, c’est s’interroger sur le bien-fondĂ© des affirmations, des attitudes, et passer au crible ce qui est donnĂ© comme Ă©tat de fait. Ce qui semble primer de nos jours en matiĂšre de management c’est la maniĂšre d’exprimer, de partager cette critique. Nous rencontrons souvent en coaching de manager, des managers qui considĂšrent ne pas arriver Ă  faire comprendre aux membres de leur Ă©quipe qu’ils n’ont rien contre eux personnellement, mais que ce sont certains rĂ©sultats qui posent problĂšme. Il est courant de rencontrer en entreprise une distorsion entre comment le manager perçoit son Ă©quipe et la façon dont l’équipe se croit perçue. Nous croisons de nombreux managers qui, dans une posture encore ancienne du management, pensent que toute erreur, toute action imparfaitement rĂ©alisĂ©e par un de ses collaborateurs, nĂ©cessite de mettre en avant, de donner un Ă©cho important Ă  ce qui ne convient pas, Ă  ce qui doit ĂȘtre amĂ©lioré  Sans pour autant centrer une partie du dĂ©briefing sur les points positifs de l’action du collaborateur. Disons le tout net cette façon de faire est une erreur psychologique » courante et source de dĂ©motivation des collaborateurs et des Ă©quipes ! Heureusement, l’art de faire une critique positive au travail est facilement accessible. Les approches modernes du management considĂšrent que ce comportement naturel » de la part d’environ 50 % des managers selon certaines Ă©tudes est prĂ©judiciable Ă  une bonne motivation au travail, une bonne gestion des Ă©quipes et donc in fine sur leurs performances. Il existe une façon de critiquer qui invite chacun Ă  s’amĂ©liorer, qui n’entame pas l’estime qu’il a de lui-mĂȘme et n’entame en rien la fonction de management. Et en regardant plus en dĂ©tail, est-il si difficile de voir aussi les points positifs d’une action d’un collaborateur ? Nous allons voir les Ă©tapes essentielles Ă  l’élaboration d’une critique positive et constructive Comment faire une critique positive au travail ! 1 Soyez bienveillant La façon dont va ĂȘtre perçue votre critique est dĂ©terminĂ©e par les raisons qui vous poussent Ă  la faire. Il faut que vous ayez envie d’aider le destinataire de votre feedback Ă  s’amĂ©liorer. Ne pensez pas d’abord Ă  sanctionner » le manquement de votre collaborateur. Assurez-vous Ă©galement d’ĂȘtre la bonne personne, d’avoir l’autoritĂ© et le statut vous permettant d’effectuer une critique, dans le cas contraire elle ne sera pas entendue ou mal vĂ©cue. 2 Tout est dans la prĂ©sentation, tout est affaire d’emballage Souvenez-vous lorsque vous receviez vos cadeaux d’anniversaire ou de NoĂ«l dans de beaux paquets bien agencĂ©s
 pensez-vous que vous auriez eu autant de plaisir Ă  les dĂ©couvrir s’ils avaient Ă©tĂ© emballĂ©s dans des sacs en plastique de supermarchĂ©s ? Les Ă©tudes les plus rĂ©centes dans le domaine des neurosciences et du marketing montrent que l’emballage Ă  de l’importance. Un mĂȘme vin n’aura pas le mĂȘme gout selon qu’il sera servi dans une bouteille de grand cru classĂ© ou dans une bouteille en plastique, et pourtant c’est le mĂȘme vin. Il en va de mĂȘme pour la critique. Prenez le temps de l’enrober, dĂ©livrez votre critique avec bienveillance dans des termes choisis pour leur connotation favorable. Il s’agit de faire preuve de finesse, de tact et d’élĂ©gance. Une critique c’est comme un mĂ©dicament, pour avaler la pilule c’est toujours mieux d’avoir un verre d’eau sucrĂ©e, pensez-y. 3 Soyez le plus objectif possible. N’utilisez pas le canal Ă©motionnel Il est prĂ©fĂ©rable de retirer toute Ă©motion du dialogue en analyse transactionnelle, il s’agirait d’une transaction de l’état du moi Adulte Ă  l’état du moi Adulte. Essayez d’ĂȘtre le plus neutre possible aussi bien dans vos messages verbaux que non verbaux. Souvenez-vous que la communication courante comporte trois Ă©lĂ©ments le sens des mots, l’intonation tonalitĂ© dans laquelle on prononce ces mots et qui va les colorer affectivement, la gestuelle ou communication non verbale c’est-Ă -dire l’ensemble des expressions du visage, des gestes, des postures, des dĂ©placements. Le sens des mots compte pour 7 %, l’intonation pour 38 % et la gestuelle pour 55 %. Si vous ĂȘtes dans l’émotion, cela transparaitra dans votre langage, dans votre intonation, dans votre attitude et vos gestes. Pensez donc Ă  vous dĂ©tendre avant de donner votre critique. Soyez chaleureux, votre comportement et votre attitude ne doivent pas ĂȘtre agressifs, mais bienveillants. Il est important que votre interlocuteur sente votre empathie afin qu’il se sente plus Ă  l’aise et moins menacĂ© ; sinon il se fermera ». 4 Choisissez le bon moment et le bon endroit MĂȘme avec les meilleures intentions du monde, si vous critiquez un de vos collaborateurs sur la place publique il y a de grandes chances pour qu’il se sente humiliĂ© et qu’il nourrisse par la suite du ressentiment Ă  votre Ă©gard. PrivilĂ©giez un endroit calme avec un minimum d’intimitĂ© permettant d’instaurer un climat de confiance. 5 Ne vous en prenez jamais ni Ă  la personnalitĂ© ni au physique de votre interlocuteur Vos critiques doivent porter sur des faits, sur le travail effectuĂ©, sur ce qui est de votre ressort. Sa vie privĂ©e ne vous concerne pas et il ne s’agit pas de faire son procĂšs. 6 Essayez la mĂ©thode Sandwich Il s’agit lĂ  d’enrober votre critique. DĂ©butez la conversation par un compliment, une marque d’attention, puis ensuite amenez gentiment la critique en des termes acceptables et terminez l’échange en changeant de sujet, en parlant de quelque chose de plus positif
 Ce n’est pas de la manipulation, mais savoir faire preuve de tact et de bienveillance. Ne vous inquiĂ©tez pas votre critique n’en sera pas pour autant oubliĂ©e. 7 Soyez honnĂȘte et clair Ne tergiversez pas, Ă©vitez la langue de bois, Ă©vitez de paraĂźtre confus ou flou cela ne peut que perturber votre interlocuteur. Il s’agit de dire la vĂ©ritĂ© aussi clairement que possible. Puisque maintenant vous avez prĂ©parĂ© le terrain, votre interlocuteur est tout disposĂ© Ă  vous entendre. Soyez prĂ©cis dans vos remarques. Dire Vous avez travaillĂ© dur, mais ce dossier est incomplet, revoyez ça ! » ne va pas beaucoup aider votre collĂšgue. Commencez par reconnaĂźtre ses efforts, montrez-lui que vous avez pris en considĂ©ration le travail qu’il a fourni, dĂ©taillez avec lui les points forts de son travail, puis seulement ensuite dites explicitement et avec prĂ©cision les points d’amĂ©lioration que vous envisagez. 8 Sollicitez l’intellect de votre interlocuteur Ne lui donnez pas votre solution, faites-lui part du problĂšme par le biais d’une critique positive et ensuite demandez-lui de trouver des solutions. Il n’en sera que plus efficace lors de la mise en Ɠuvre des solutions qu’il aura trouvĂ©es par lui-mĂȘme. L’idĂ©al serait qu’à la fin de votre entretien, vos remarques deviennent les siennes, que votre interlocuteur abonde dans votre sens et reconnaisse les axes d’amĂ©lioration Ă©voquĂ©e ensemble. 9 Servez-vous du passĂ© comme levier dans le prĂ©sent, mais ne ruminez pas Il ne sert Ă  rien de ressasser des erreurs dĂ©jĂ  commises et auxquels personne ne peut rien changer, cela mine le moral de tout le monde. Il faut certes apprendre de ses erreurs, mais non mouliner dans le vide. Si vous pensez qu’il est nĂ©cessaire de faire appel Ă  des erreurs commises, assurez-vous qu’elles soient pertinentes dans le contexte actuel, qu’elles servent au prĂ©sent. Il ne s’agit pas de faire la liste de ce qui aurait dĂ» ĂȘtre fait, puisque personne ne peut rien y changer. L’exemple des erreurs passĂ©es doit juste vous servir de rappel, de clignotant, c’est un panneau Attention, rappelez-vous ! Mais si vous vous appesantissez dessus l’énergie de l’équipe se dissoudra et la rancune engendrera des conflits. 10 Soyez attentif, n’en dites pas trop Ă  la fois Adaptez-vous Ă  votre interlocuteur, ne dĂ©bitez pas tout ce que vous avez Ă  lui dire, faites vos remarques une par une dans l’ordre que vous avez Ă©laborĂ© prĂ©alablement. Quand vous sentez que c’est assez, faites une pause ou arrĂȘtez vous. Il n’est pas bon de trop en dire d’un seul coup. Il faut opĂ©rer par petites touches. Il faut s’assurer que l’interlocuteur est disposĂ© et apte Ă  entendre la critique afin de s’amĂ©liorer. 11 Insistez sur les progrĂšs Faites part du chemin parcouru plus que du chemin Ă  parcourir. C’est dans le progrĂšs rĂ©alisĂ© que se situe l’énergie nĂ©cessaire Ă  la progression. Au contraire, une vision centrĂ©e uniquement sur l’objectif final, parfois Ă©loignĂ©, ne peut que dĂ©courager. En conclusion, la critique positive n’est pas une simple technique que l’on sort » pour rĂ©soudre un problĂšme. C’est une mĂ©thode qui met en Ɠuvre un ensemble d’attitudes de base qui devrait faire partie de l’équipement Ă©motionnel » du manager moderne vouloir aider, vouloir Ă©couter, avoir confiance dans les capacitĂ©s de l’autre, accepter les diffĂ©rences
 Sans ces attitudes la mĂ©thode paraĂźtra fausse, vide, mĂ©canique et peu sincĂšre et atteindra rarement son but. La critique positive est donc une discipline complexe Ă  pratiquer, mais les efforts que l’on dĂ©ploie pour parvenir Ă  la maitriser sont rĂ©compensĂ©s au centuple par l’ampleur des changements obtenus. Cela tant dans le domaine de la communication au sein de l’entreprise que dans celui des performances rĂ©alisĂ©es par ses employĂ©s, sans oublier que pour le manager c’est une magnifique opportunitĂ© de dĂ©velopper ses compĂ©tences managĂ©riales. Vous avez un besoin explicite, un problĂšme vous concernant personnellement, un collaborateur, une Ă©quipe constituĂ©e ? Un enjeux ou un objectif vous concernant vous, vos collaborateurs, votre organisation ? Vous voulez en explorer la pertinence et la faisabilitĂ©? Nous vous accompagnons gratuitement dans la formalisation explicite de vos besoins en regard Ă  vos enjeux. Contactez nous simplement en cliquant sur le bouton orange. Noam Chomsky est l’un des intellectuels les plus respectĂ©s au monde. Ce penseur amĂ©ricain a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme le plus important de l’époque contemporaine par le New York Times. L’une de ses principales contributions est d’avoir proposĂ© et analysĂ© les stratĂ©gies de manipulation de masse qui existent aujourd’hui dans le Chomsky est connu en tant que linguiste, mais Ă©galement comme philosophe et politologue. Il est par ailleurs devenu l’un des principaux activistes des causes libertaires. Ses Ă©crits ont circulĂ© dans le monde entier et ne cessent de surprendre les lecteurs.“Comment se fait-il que nous disposions d’autant d’informations, mais nous sachions si peu ?” -Noam Chomsky-Chomsky a Ă©laborĂ© un texte didactique dans lequel il synthĂ©tise les stratĂ©gies de manipulation de masse. Ses rĂ©flexions sur ce sujet sont profondes et complexes. Cependant, Ă  des fins didactiques, il en fit un rĂ©sumĂ© dans des principes simples et accessibles Ă  La distraction, l’une des stratĂ©gies de manipulation de masseSelon Chomsky, la plus rĂ©currente des stratĂ©gies de manipulation de masse est la distraction. Il s’agit essentiellement de diriger l’attention du public vers des sujets non pertinents ou banals. De cette façon, ils gardent l’esprit des individus submergent la population d’informations afin de distraire les personnes. Il est par exemple donnĂ© une haute importance aux Ă©vĂ©nements sportifs. Il en va de mĂȘme pour les spectacles, les curiositĂ©s, etc. Cela Ă  pour consĂ©quence que les personnes perdent de vue leurs problĂšmes .2. ProblĂšme – RĂ©action – SolutionLe pouvoir cesse parfois dĂ©libĂ©rĂ©ment de traiter ou traite de maniĂšre dĂ©ficiente certaines rĂ©alitĂ©s. Ils prĂ©sentent les choses aux citoyens comme un problĂšme exigeant une solution externe. Ils proposent eux-mĂȘmes la s’agit de l’une des stratĂ©gies de manipulation de masse destinĂ©e Ă  prendre des dĂ©cisions impopulaires. Par exemple, lorsqu’ils veulent privatiser une entreprise publique et diminuer intentionnellement ses services. En fin de compte, cela permet de justifier la La gradualitĂ©Il s’agit d’une autre de ces stratĂ©gies de manipulation de masse destinĂ©es Ă  introduire des mesures que les personnes n’accepteraient gĂ©nĂ©ralement pas. Elle consiste Ă  les appliquer peu Ă  peu, de maniĂšre Ă  les rendre pratiquement imperceptibles .C’est ce qui s’est passĂ©, par exemple, avec la rĂ©duction des droits du travail. Des mesures ou des formes de travail ont Ă©tĂ© mises en oeuvre dans diffĂ©rentes sociĂ©tĂ©s, lesquelles ont fini par prĂ©senter comme normal le fait qu’un employĂ© ne bĂ©nĂ©ficie d’aucune garantie de sĂ©curitĂ© DiffĂ©rerCette stratĂ©gie consiste Ă  faire croire aux citoyens qu’une mesure est temporairement prĂ©judiciable, mais qu’à l’avenir elle peut apporter de grands bĂ©nĂ©fices Ă  l’ensemble de la sociĂ©tĂ© et, bien Ă©videmment, aux est que les personnes s’habituent Ă  la mesure et ne la rejettent pas, en pensant au supposĂ© progrĂšs qu’elle apportera demain. Lorsque se prĂ©sente le moment de faire passer la mesure, l’effet de la “normalisation” a dĂ©jĂ  fonctionnĂ© et les personnes ne protestent pas alors mĂȘme que les avantages promis n’arrivent Infantiliser le publicBeaucoup de messages tĂ©lĂ©visĂ©s, en particulier publicitĂ©s, tendent Ă  parler au public comme s’ils s’agissait d’enfants. Ils utilisent des gestes, des mots et des attitudes qui sont conciliants et imprĂ©gnĂ©s d’une certaine est de surmonter les rĂ©sistances des individus. Il s’agit de l’une des stratĂ©gies de manipulation de masse qui cherche Ă  neutraliser le sens critique de la population. Les politiciens emploient Ă©galement ces tactiques, se montrant parfois comme des figures Recourir aux Ă©motionsLes messages qui sont conçus Ă  partir du pouvoir n’ont pas pour objectif l’esprit critique des individus. Ce qu’ils cherchent principalement est de gĂ©nĂ©rer des Ă©motions et atteindre l’inconscient des individus. Par consĂ©quent, beaucoup de ces messages sont remplis d’ but de ceci est de crĂ©er une sorte de “court-circuit” avec la part la plus rationnelle de l’individu. Le contenu global du message est capturĂ© grĂące aux Ă©motions, non ses Ă©lĂ©ments spĂ©cifiques. La capacitĂ© critique s’en trouve dĂšs lors CrĂ©er des publics ignorantsGarder les personnes dans l’ignorance est l’un des objectifs du pouvoir. L’ignorance signifie ne pas donner aux personnes les outils nĂ©cessaires pour qu’elles puissent analyser la rĂ©alitĂ© par elles-mĂȘmes. Leur prĂ©senter des donnĂ©es anecdotiques, mais ne pas les laisser connaĂźtre les structures internes des dans l’ignorance permet Ă©galement de ne pas mettre l’accent sur l’éducation. Favoriser un large fossĂ© entre la qualitĂ© de l’éducation privĂ©e et l’éducation publique. Endormir la curiositĂ© pour le savoir et accorder peu de valeur aux produits de l’ Promouvoir des publics complaisantsLa plupart des modes et des tendances ne sont pas créées spontanĂ©ment. Elles sont presque toujours induites et promues Ă  partir d’un centre de pouvoir qui exerce son influence pour crĂ©er des vagues massives de goĂ»ts, d’intĂ©rĂȘts ou d’ mĂ©dias promeuvent gĂ©nĂ©ralement certaines modes et tendances, la plupart d’entre elles tournant autour de modes de vie ridicules, superflus ou mĂȘme stupides. Ils persuadent les personnes que se comporter de telle maniĂšre est “ce qui est Ă  la mode”.9. Renforcement de l’auto-culpabilitĂ©Une autre stratĂ©gie de manipulation de masse consiste Ă  faire croire aux individus qu’ils sont seuls responsables de leurs problĂšmes. Toute chose nĂ©gative qui leur arrive ne dĂ©pend que d’eux-mĂȘmes. Ils sont dĂšs lors amenĂ©s Ă  croire que l’environnement est parfait et que si une dĂ©faillance se produit, elle est de la responsabilitĂ© de l’ consĂ©quent, les personnes finissent par essayer de s’intĂ©grer dans leur environnement et par se sentir coupables de ne pas y parvenir complĂštement. Elles dĂ©placent l’indignation que le systĂšme pourrait leur causer vers une culpabilisation permanente d’elles-mĂȘmes .10. Une connaissance approfondie de l’ĂȘtre humainAu cours des derniĂšres dĂ©cennies, la science a rĂ©ussi Ă  collecter une quantitĂ© impressionnante de connaissances sur la biologie et la psychologie des ĂȘtres humains. Cependant, tout ce patrimoine n’est pas accessible Ă  plupart des un minimum d’informations est disponible pour le public. Pendant ce temps, les Ă©lites disposent de toutes ces connaissances et les utilisent Ă  leur convenance. Une fois de plus, il devient clair que l’ignorance facilite l’action du pouvoir sur la ces stratĂ©gies de manipulation de masse visent Ă  maintenir le monde comme il convient aux plus puissants. Bloquer la capacitĂ© critique et l’autonomie de la plupart des personnes. Cependant, il dĂ©pend Ă©galement de nous de nous laisser manipuler passivement, ou d’offrir une rĂ©sistance autant que faire se pourrait vous intĂ©resser ... ï»żInfosDiffusionsCastingRĂ©sumĂ©Chacun d'entre nous s'est dĂ©jĂ  retrouvĂ© au moins une fois, au coeur de la tourmente... Au nom de la vĂ©rité» est une fiction quotidienne de vingt-six minutes qui s'attache Ă  des hĂ©ros du quotidien en prise avec une dĂ©cision capitale. Chaque Ă©pisode est une tranche de vie dans laquelle chacun peut s'identifier ou projeter sa propre famille. Ces moments qui dĂ©rapent, ces accidents de la vie, ces histoires secrĂštes qui encombrent notre quotidien...GenreSĂ©rie - ComĂ©die socialeAnnĂ©e de sortie2014AvecHenri De LabbeyInfos supplĂ©mentaires—Avis des internautes 1Vous avez aimĂ© ce programme ?

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